Vous connaissez peut-être déjà le principe des complexes cinématographiques qui allient salles de projection, salle de jeu, point détente et point restauration. Découvrez dès à présent les hôtels immersifs du groupe Atari.
Atari, Atari… Oui ! Vous y êtes, il s’agit bien de l’éditeur français de jeux vidéo et fabricant de consoles né dans les années 1970 aux États-Unis. Retour aux sources pour la marque, puisque c’est aux USA qu’elle lance son tout nouveau concept ; une chaîne d’hôtels dédiée au gaming, mais aussi au coworking. Une idée étonnante qui, à n’en pas douter, devrait faire le plein de réservations, notamment lors des salons e-sport.
Des hôtels pour jouer et travailler
C’est en partenariat avec GSD Group et True North Studio, qu’Atari a annoncé la construction prochaine d’une série de complexes hôteliers d’un genre nouveau et destinée à « une clientèle familiale ou professionnelle pour des séjours luxueux, décontractés et originaux ».
Salles de réunion, coworking, mais aussi salle de sport, cuisine, bar, boulangerie et même cinéma sont prévus pour un confort sans égal et surtout, pour que vous n’ayez plus besoin de sortir de votre hôtel. Profitez également d’un espace de jeu en ligne et d’un terrain de jeux aux couleurs d’Atari pour assouvir votre passion.
Les États-Unis en ligne de mire
Vous êtes d’ores et déjà prêt à réserver vos premières nuits ? Il va vous falloir faire preuve d’un peu de patience. Si la construction du premier Atari hôtel est bien prévue pour cette année, pour le moment seules 8 villes des États-Unis sont concernées par une implantation. C’est le cas pour Austin, Chicago, Denver, Las Vegas, Phoenix, San Francisco, San José et Seattle.
Petit espoir tout de même, la firme pionnière en matière de consoles de jeu, précise dans un communiqué de presse, conserver les droits pour le développement d’activités similaires outre-Atlantique, mais aussi ailleurs dans le monde… Un appel du pied à la France ? Cela reste à voir. En effet, pour sa reconversion Atari n’est titulaire que d’un contrat de licence, lequel lui permet tout de même de prétendre à 5 % du total des revenus générés.